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François Berléand - Page 2

  • Un jour mon père viendra

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    C’est une période difficile pour notre pote Bernard Beu (François Berléand) qui vient de perdre sa femme laissant derrière elle une fortune colossale. Il va cependant découvrir un tout autre trésor ; un coffret renfermant toutes les lettres de Chloé (Olivia Ruiz), une fille dont il ignorait jusque-là l’existence. Il part donc à sa recherche et se rend en France où il apprend que sa fille a déjà un père en la personne de Gustave (Gérard Jugnot). Chloé quant à elle est en froid avec ce père et on la retrouve à Bordeaux où elle mène un casting aussi fastidieux qu’insolite puisqu’elle cherche un comédien pour incarner son père ! La jeune femme se marie bientôt et a quelque peu enjolivé la vérité pour séduire l’ancien champion de tennis Stephen (Jamie Bamber).

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    Un jour mon père viendra va surtout faire parler de lui par rapport à la première apparition sur le grand écran de l’artiste Olivia Ruiz car le reste est franchement anecdotique. La prestation de la chanteuse est correcte avec encore quelques approximations mais elle ne parvient en aucun cas à illuminer l’ensemble. Le scénario aurait bien eu besoin de plus de clarté, on a un peu l’impression que l’histoire nous est vite jetée à la figure pour dérouler le reste. Quant à la paire Jugnot / Berléand, elle est sympathique et réussit à nous arracher quelques timides sourires mais largement insuffisant pour dépasser le stade d’une comédie totalement quelconque.



    Il faut le voir pour : Ba .. euh… en fait… allez portons un toast !

  • Le concert

     

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    Autrefois, Andrei Filipov (Aleksei Guskov) était un grand chef d'orchestre que tout le monde surnommait Le maestro mais aujourd'hui ce n'est qu'un simple concierge au sein du prestigieux Bolchoï. Alors qu'il nettoyait le bureau du directeur, il tombe accidentellement sur un fax envoyé par Le théâtre du Chatelet invitant l'orchestre du Bolchoï à venir se produire en France à la suite d'un désistement de dernière minute. Andrei saute sur l'occasion et subtilise le fax avec le projet insensé de se rendre lui-même à Paris avec son propre orchestre. Mieux encore, il exige la présence de la talentueuse Anne-Marie Jacquet (Mélanie Laurent) à leurs cotés pour leur concert.

     

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    Un rêve brisé par les restrictions idéologiques d'un régime politique et une artiste au passé trouble telle est la symphonie offerte par Le concert de Radu Mihailenu. Dans un premier temps on suit donc les tribulations d'Andrei qui va devoir faire des pieds et des mains pour former un orchestre digne de ce nom avant de débarquer en France. Drôle mais parfois un poil trop caricatural (Le Parti Communiste en prend un sacré coup) ; on passe un excellent moment et la présence de la rayonnante Mélanie Laurent est un atout supplémentaire. Voilà donc une très bonne surprise et une très belle découverte à faire au cinéma !

     

    Il faut le voir pour : Réserver une table au Trou normand.

     

  • Ca$h

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    Il s’appelle Cash (Jean Dujardin) et c’est un spécialiste de l’arnaque surtout quand il y a une belle somme d’argent à la clé. D’ailleurs, ses méfaits ne font pas rire tout le monde puisque Cash est sa petite équipe ont été mis sous surveillance ; une opération menée par Julia (Valeria Golino). Un énorme casse est sur le point d’être planifié impliquant l’un des plus grands criminels, l’inimitable Maxime (Jean Reno). La cible ce sont des bijoux d’une valeur inestimable mais pour espérer s’en emparer il va falloir la jouer fine car ils sont sous étroite surveillance mais ce n’est là qu’une formalité pour notre pote Cash !

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    Qu’il est difficile de ne pas faire le rapprochement entre ce film et la trilogie Ocean de Steven Soderbergh ; une comparaison où la copie fait bien pale figure. A l’instar de Danny Ocean, notre pote Jean Dujardin s’est entouré d’une belle équipe : Alice Taglioni, la toujours aussi belle Valeria Golino, François Berléand & Jean Reno. L’histoire se passe de commentaires ; un casse énorme est organisé et après une partie de cash-cash avec la police, c’est le coup de l’arroseur arrosé. Dans son style, Ca$h n’est pas forcément un mauvais disons juste qu’il semble essuyer les plâtres d’un genre nouveau dans le cinéma français.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’on ne pourra jamais arnaquer un arnaqueur !

  • La fille coupée en deux

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    Gabrielle Deneige (Ludivine Sagnier) fait la pluie et le beau temps sur une petite télévision locale. Belle et ambitieuse, elle vit en compagnie de sa mère et c’est d’ailleurs par son intermédiaire qu’elle va rencontrer Charles Saint-Denis (François Berléand), écrivain à succès à l’occasion d’une séance de dédicaces. La jeune femme tombe sous le charme du sexagénaire et c’est une véritable passion qui va naitre mais un autre homme la courtise. Il s’agit de Paul (Benoit Magimel), appelé plus communément le fils Gaudens ; riche hériter qui ne porte d’ailleurs pas l’écrivain dans son cœur. Gabrielle s’abandonne à son amour pour Charles et est prête à tout pour lui donner satisfaction.

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    Voilà exactement le genre de film pour lequel je n’aurais pas payé une place pour le voir mais plutôt attendu une diffusion télévisée et encore... Drame romantique où l’on assiste à l’amour passionnel mêlé d’admiration d’une jeune femme pour un intellectuel et de ses sacrifices, La fille coupée en deux met surtout en avant son trio d’interprète plutôt que son histoire. La générosité de Berléant, la fantaisie de Magimel et le charme irrésistible de Sagnier font le reste pour un film plaisant mais pas exceptionnel. Claude Chabrol n’est plus un amateur mais sa réalisation reste bien sobre au regard de certaines productions actuelles.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre quelques citations à placer dans vos conversations.

  • Je crois que je l'aime

     

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    Depuis qu’il a divorcé, notre pote Lucas (Vincent Lindon) a énormément changé, il n’accorde plus la même confiance aux femmes. Ainsi, lorsqu’il fait la connaissance de la belle Elsa (Sandrine Bonnaire), son premier réflexe est de demander à son enquêteur privé Roland Christin (François Berléand) de monter un véritable dossier sur la jeune femme. Finalement, il va apprendre à la connaitre par ses propres moyens et tombera très vite sous son charme jusqu’au jour où Elsa apprend qu’elle a été épiée durant des jours.

     

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    Voici une comédie romantique française qui semble ordinaire et qui effectivement n’apporte pas de grandes nouveautés à ce que l’on a déjà pu voir auparavant. Le scénario sent le réchauffé mais Je crois que je l’aime reste un divertissement agréable grâce au couple Vincent Lindon / Sandrine Bonnaire qui apporte un peu de fraicheur.  A cela s’ajoute la présence du toujours très bon François Berléand sans oublier celle de Kad Merad fraichement récompensé du César du meilleur second rôle. Léger, je crois que tout le monde n’aimera pas ce film !

     

    Il faut le voir pour : La meilleure télécommande au monde !

  • L'ivresse du pouvoir

    Benoît (Yves Verhoeven) faites entrer l'accusé,

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    Cinéma,DVD,L'ivresse du pouvoir,Claude Chabrol,Isabelle Huppert,François BerléandBonjour Monsieur Humeau (François Berléand) ou devrais-je vous appeler Monsieur le président ? Je me présente maître Charmant Killman (Isabelle Huppert), juge d'instruction.

     

    Je vous inculpe pour abus de biens sociaux, falsification des comptes bancaires et tout un tas d'autres chefs d'accusation que je ne me fatiguerais pas à vous énumérer. Comme vous êtes le numéro 1 du groupe ; vous avez l'honneur d'ouvrir le bal mais sachez que tous y passeront car j'ai bien l'intention de faire un peu de ménage.

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    Vous savez que vous m'avez donné beaucoup de travail, près de deux ans pour constituer ce dossier ! Ah voilà votre avocat ; il va pouvoir prendre connaissance du dossier quant à moi je vous dis au plaisir.

     

     

     

    En savoir plus sur L'ivresse du pouvoir ?

  • Le passager de l'été

     

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    Nous sommes dans la période d’après-guerre en 1950. Dans la ferme de notre pote Monique (Catherine Frot), le travail ne manque pas et elle aurait bien besoin d’aide au quotidien et cela tombe plutôt bien. Voici venir Joseph (Gregori Derangère) qui vient d’arriver dans la région et qui est tout naturellement engagé comme nouveau commis de la ferme. Une arrivée qui va vite faire le tour du village et qui ne va pas laisser insensible la gente féminine !

     

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    Le passager de l’été c’est comme un séjour à la campagne, c’est calme et reposant. Au début on apprécie mais très rapidement on aimerait qu’il se passe autre chose que la traite des vaches. Malgré un casting particulièrement riche (notons les présences de François Berléand, Samuel Le Bihan, Mathilde Seigner et surtout la belle Laura Smet), on ne peut s’empêcher de trouver le temps long !

  • L'ivresse du pouvoir

    Les puissants de ce monde savent combien il est facile de tomber dans l'ivresse du pouvoir. Plus on acquiert un statut social élevé, plus les portes s'ouvrent à vous dans le cas contraire il ne reste qu’à vous de les enfoncer. Michel Humeau (François Berléand) l’a bien compris et n'hésite pas à user et abuser de ses privilèges pour embellir sa vie et celle des autres. Un temps révolu quand il sera mis en instruction pour usage de biens sociaux accompagnés d'un tas d'autres chefs d'accusation, le juge Jeanne Charmant Killman (Isabelle Huppert) compte bien faire bouger les choses.

    Clin d'oeil évident à l'affaire Elf, cette chronique judiciaire fut très passionnante à suivre notamment grâce à une magistrale Isabelle Huppert. Sa présence donne toute la force de caractère au film sans oublier les seconds rôles avec le toujours excellent François Berléand. L'ivresse du pouvoir est agréable à suivre et mérite que vous y jetiez un œil à moins que toutes ces histoires d’argent détourné ne vous donne le tournis !

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !